Au 28 avril 2010, les étudiants OLDER de la formation „Bachelor en sciences de l´éducation“ de l´Université du Luxembourg ont participé à un séminaire sur la découverte du milieu local comme contenu intéressant à l´école. En effet, les jeunes de nos jours vivent souvent avec des „yeux fermés“ dans un entourage, qui leur est familier et en même temps inconnu.
Ainsi il serait important „ d´ouvrir les yeux“ des élèves à l´aide d´un projet interactif sur le milieu local.
Pour bien saisir cette idée, les professeurs Demoulin, Faber et Kreis, ont organisé un joint séminaire en dehors de notre campus, précisemment dans la commune de Niederanven. Après une courte introduction, les étudiants ont été répartis dans différents groupes, pour y travailler sur un thème imposé. (p.ex. l´histoire de la commune, les aspects géologiques etc.). À l´aide de personnes ressources, de documents, de brochures et de cartes mis à disposition des étudiants, chaque groupe a élaboré le thème en question. Cette phase durait quelques heures et se déroulait au centre culturel de Oberanven et pendant des randonnées sur les lieux répartis dans la commune.
Aprés la collecte des dates, les étudiants se sont répartis dans de nouveaux groupes afin que chaque groupe se composait d´experts de différents thèmes aboutis lors de la matinée.
Dans une discussion commune, les experts ont présenté leurs dates concrètes. Ainsi, tous les membres du groupe, ont pu avoir un même niveau d´information sur la commune de Niederanven.
Dans une dernière phase les différents groupes ont dû commencer à organiser un projet interactif pour une école/classe fiktive, en vue de la découverte et d´une examination du milieu local.
Le JS se terminait avec une présentation par deux enseignants, qui montraient et expliquaient aux étudiants des projets innovatifs développés et réalisés dans l´école de Niederanven.
Réflexion du JS 28.04.2010
À mon avis, le joint séminaire du 28 avril a connu un succès fou. D´abord je trouvais la localité du JS bien choisie, car ce n´était pas trop loin du campus universitaire et en même temps un endroit inconnu pour la plupart des étudiants. Ainsi nous avons pu faire l´expérience de participer à une découverte d´un nouveau milieu, de façon interactive et innovative. On a donc pu vivre un élève „aveugle“ dans un environnement nouveau.
Sachant que beaucoup d´enfants de nos jours ne connaissent pas bien leur milieu local, on pourrait comparer notre rôle d´élève „aveugle“ avec les enfants de nos futures classes.
Souvent on oublie de regarder les choses qui nous entourent de plus près. Ils y sont, et c´est tout.
Le séminaire m´a appris à rechercher les projets intéressants dans nos ressources personnelles. Il ne faut pas traiter dans les leçons de biologie un thème sur les grenouilles toxiques de Madagaskar si on peut analyser des cloportes qui vivent dans nos régions.
J´ai donc appris, que le rôle de l´enseignant est de faire découvrir aux enfants, des phénomènes et des objets intéressants de nos vies quotidiennes. En effet, il faut les „chatoullier“ avec des sujets connus pour qu´ils commencent à s´intéresser pour leur environnement.
Rapport du JS 29.04.2010
Au 29 avril 2010, les étudiants du groupe OLDER se sont rencontrés de nouveau pour retravailler et présenter leurs projets élaborés concernant le thème du milieu local. Dû au fait qu´il y avait 10 groupes qui devraient présenter leurs idées en 2 heures, les présentations étaient courtes et suivies de discussions non fructueuses. En effet, il y avait des perturbances pendant les présentations. Les étudiants étaient stressés car les joint séminaires étaient organisés pendant une période entre deux stages. Ainsi les étudiants ne pouvaient / ou ne voulaient plus se concentrer pour écouter leurs camarades.
Pendant l´après-midi, 2 écoles en mouvement – à savoir, l´école de Roodt/Syre et de Grosbous- ont présenté leurs travaux en classe. Par cette démarche, les étudiants ont fait connaissance avec des exemples réels de „projets interdisciplinaires“ . De plus, des méthodes d´évaluation étaient présentées bien que celles-ci aient étéd juste brièvement touchées.
Réflexion du JS 28.04.2010
Le(s) séminaire(s) du 29 avril ont été organisés de façon plus frontale, ce qui apportait un peu d´ennuie et d´aggressivité parmi les étudiants. Bien que l´idée générale de la présentation et de la discussion des différents projets élaborés était compréhensible, les circonstances n´étaient pas bien choisies. En effet, les étudiants ont appris ce jour-là qu´il y aurait que 250 places libres l´année prochaine dans l´enseignement luxembourgeois, bien qu´il y a déjà 600 candidats qui se sont inscrits au concours du recrutement d´enseignants.
Cette rumeur était présente pendant toute la matinée et dans mes yeux il y aurait été préférable d´en parler une fois en groupe, pour apaiser les discussions secondaires pour recommencer dans une deuxième phase les présentations.
Cette approche est aussi valable dans l´école primaire, car j´ai fait l´expérience qu´il est mieux de se prendre 10 minutes pour discuter un problème afin de pouvoir le règler et de le mettre à côté avant de recommencer la leçon.
Pendant l´après-midi, le cours était plus frais, car il y avait des instituteurs et des institutrices qui présentaient quelques exemples de projets/travaux interdisciplinaires et des fiches concipées en visant l´évaluation des compétences. Personellement, j´ai appris beaucoup pendant ces présentations, car il y a toujours de nouvelles méthodes ou d´idées dont on fait connaissance.
En dernier lieu, j´aimerais dire, que je trouve cette communication entre instituteurs, écoles et futures enseignants très important, car chacun peut profiter de l´autre.
En effet, la communication et l´échange d´idées favorise une école ouverte !
Ainsi il serait important „ d´ouvrir les yeux“ des élèves à l´aide d´un projet interactif sur le milieu local.
Pour bien saisir cette idée, les professeurs Demoulin, Faber et Kreis, ont organisé un joint séminaire en dehors de notre campus, précisemment dans la commune de Niederanven. Après une courte introduction, les étudiants ont été répartis dans différents groupes, pour y travailler sur un thème imposé. (p.ex. l´histoire de la commune, les aspects géologiques etc.). À l´aide de personnes ressources, de documents, de brochures et de cartes mis à disposition des étudiants, chaque groupe a élaboré le thème en question. Cette phase durait quelques heures et se déroulait au centre culturel de Oberanven et pendant des randonnées sur les lieux répartis dans la commune.
Aprés la collecte des dates, les étudiants se sont répartis dans de nouveaux groupes afin que chaque groupe se composait d´experts de différents thèmes aboutis lors de la matinée.
Dans une discussion commune, les experts ont présenté leurs dates concrètes. Ainsi, tous les membres du groupe, ont pu avoir un même niveau d´information sur la commune de Niederanven.
Dans une dernière phase les différents groupes ont dû commencer à organiser un projet interactif pour une école/classe fiktive, en vue de la découverte et d´une examination du milieu local.
Le JS se terminait avec une présentation par deux enseignants, qui montraient et expliquaient aux étudiants des projets innovatifs développés et réalisés dans l´école de Niederanven.
Réflexion du JS 28.04.2010
À mon avis, le joint séminaire du 28 avril a connu un succès fou. D´abord je trouvais la localité du JS bien choisie, car ce n´était pas trop loin du campus universitaire et en même temps un endroit inconnu pour la plupart des étudiants. Ainsi nous avons pu faire l´expérience de participer à une découverte d´un nouveau milieu, de façon interactive et innovative. On a donc pu vivre un élève „aveugle“ dans un environnement nouveau.
Sachant que beaucoup d´enfants de nos jours ne connaissent pas bien leur milieu local, on pourrait comparer notre rôle d´élève „aveugle“ avec les enfants de nos futures classes.
Souvent on oublie de regarder les choses qui nous entourent de plus près. Ils y sont, et c´est tout.
Le séminaire m´a appris à rechercher les projets intéressants dans nos ressources personnelles. Il ne faut pas traiter dans les leçons de biologie un thème sur les grenouilles toxiques de Madagaskar si on peut analyser des cloportes qui vivent dans nos régions.
J´ai donc appris, que le rôle de l´enseignant est de faire découvrir aux enfants, des phénomènes et des objets intéressants de nos vies quotidiennes. En effet, il faut les „chatoullier“ avec des sujets connus pour qu´ils commencent à s´intéresser pour leur environnement.
Rapport du JS 29.04.2010
Au 29 avril 2010, les étudiants du groupe OLDER se sont rencontrés de nouveau pour retravailler et présenter leurs projets élaborés concernant le thème du milieu local. Dû au fait qu´il y avait 10 groupes qui devraient présenter leurs idées en 2 heures, les présentations étaient courtes et suivies de discussions non fructueuses. En effet, il y avait des perturbances pendant les présentations. Les étudiants étaient stressés car les joint séminaires étaient organisés pendant une période entre deux stages. Ainsi les étudiants ne pouvaient / ou ne voulaient plus se concentrer pour écouter leurs camarades.
Pendant l´après-midi, 2 écoles en mouvement – à savoir, l´école de Roodt/Syre et de Grosbous- ont présenté leurs travaux en classe. Par cette démarche, les étudiants ont fait connaissance avec des exemples réels de „projets interdisciplinaires“ . De plus, des méthodes d´évaluation étaient présentées bien que celles-ci aient étéd juste brièvement touchées.
Réflexion du JS 28.04.2010
Le(s) séminaire(s) du 29 avril ont été organisés de façon plus frontale, ce qui apportait un peu d´ennuie et d´aggressivité parmi les étudiants. Bien que l´idée générale de la présentation et de la discussion des différents projets élaborés était compréhensible, les circonstances n´étaient pas bien choisies. En effet, les étudiants ont appris ce jour-là qu´il y aurait que 250 places libres l´année prochaine dans l´enseignement luxembourgeois, bien qu´il y a déjà 600 candidats qui se sont inscrits au concours du recrutement d´enseignants.
Cette rumeur était présente pendant toute la matinée et dans mes yeux il y aurait été préférable d´en parler une fois en groupe, pour apaiser les discussions secondaires pour recommencer dans une deuxième phase les présentations.
Cette approche est aussi valable dans l´école primaire, car j´ai fait l´expérience qu´il est mieux de se prendre 10 minutes pour discuter un problème afin de pouvoir le règler et de le mettre à côté avant de recommencer la leçon.
Pendant l´après-midi, le cours était plus frais, car il y avait des instituteurs et des institutrices qui présentaient quelques exemples de projets/travaux interdisciplinaires et des fiches concipées en visant l´évaluation des compétences. Personellement, j´ai appris beaucoup pendant ces présentations, car il y a toujours de nouvelles méthodes ou d´idées dont on fait connaissance.
En dernier lieu, j´aimerais dire, que je trouve cette communication entre instituteurs, écoles et futures enseignants très important, car chacun peut profiter de l´autre.
En effet, la communication et l´échange d´idées favorise une école ouverte !
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